Moi c'est Julien, 19 ans, blond foncé, cheveux courts en brosse, les yeux verts et un corps sculpté par 4 années de muscu.
Depuis déjà 4 ans, je fantasme sur mon voisin, un dieux canadien brun aux yeux turquoise, de deux ans mon aîné, travaillé à la serpe avec des muscles saillants, une gueule de bad boy qui fait fondre toutes les voisines et leur copines et des mains de déménageur. Bref le profil du mauvais garçon qu'on embauche pour un pub de sous-vêtements ou un parfum, le mec qui me fait jouir sans me branler.
Mais je savais que Brandon, son nom, n'étaient pas un tendre particulièrement enclin à aimer les gays comme moi. Je n'avais jamais oser lui parler mais je le matais souvent quand il bidouillait sa Mustang noire ou quand il passait la tondeuse dans le jardin. Je le voyais parfois se changer dans sa chambre, car nos fenêtres étaient en vis-à-vis, raison pour laquelle il fermait les volets avant.
Ce jour-là, je n'avais rien d'autre à faire que de traîner dans le quartier. Je errais dans les rues désert en quête d'un(e) ami(e) chez qui squatter ... mais rien .... De retour, j'aperçois Brandon en train de retaper sa caisse. Un petit coup sur son boxer Calvin Klein rouge qui dépasse et son cul magnifique. Je lève les yeux ... ET MERDE !! Le voilà qu'il me regarde pile quand le reluque ! Je tente de garder mon calme. Il pense peut-être que je matte sa caisse.
Il m'interpelle :
"Eh toi ?! Viens m'aider stp !"
"Euuuh ... moi ? Ok ..."
"C'est Julien c'est ça ?"
"Ouais et toi c'est Brandon ?"
"Ouais."
"Joli modèle."
"Je sais."
Il n'est pas causant ... et pas chaleureux en plus !
Bref je suis avec lui et ça m'excite.
Nous pénétrons dans le garage. C'est pleins d'outils et de pièces détachées. Ca pue l'essence en plus.
Une fois dedans, il m'attrape par le bras et me plaque contre le mur. Il me regarde comme un loup regarde sa proie, comme un criminel regarde sa victime. Je crois qu'il a capté mon manège. EH MERDE !!
"Bon maintenant tu vas arrêter de matter mon cul p'tite pédale de merde ou sinon je te jure que je vais pas être sympa avec toi. Ça fait deux ans que j'ai compris et je peux te dire que j'ai été patient. J'aime pas du tout mes bastringues dans ton genre donc si tu veux pas avoir des problèmes t'as intérêt à vite te sortir de la tête toutes tes images de moi sinon c'est moi qui les sort compris ?!"
Il me tient fermement par la gorge. J'ai les larmes aux yeux. Ce mec me fait vraiment penser à un tueur comme ça !
"J'suis désolé mec. J'y peux rien si tu me plais autant !"
"Toi aussi tu me plais putain mais si les gens apprennent, je vais passer pour une merde alors arrête ça !"
Je suis abasourdi ! Je ... lui ... plais ??? Mais il est en train de me faire son coming out ou quoi ?! Plus aucun mots ne sort de ma boiche.
Devant mon inexpression, il m'entraîne derrière les étagères.
Là il me pousse contre le mur, caresse ma joue tendrement, et d'un coup sec plonge sa bouche contre la mienne. Le coup est rude ... mais délicieux. Il emballe bien le con.
J'ai une érection de malade et je sens contre ma jambe que lui aussi.
Après quelques secondes, il se retire et me dit :
"Putain regarde ce que tu me fais faire sale fiote ! Je me dégoûte."
Il recule, defait son pantalon et libère spn érection. Une belle bite : environ 21*5.
Il me mets à genou, agrippe mes cheveux, bloque ma tête et enfonce sa bite dans ma bouche jusqu'à la garde. Il reste ainsi 5 ou 6 secondes. J'étouffe ! J'essaie de le repousser mais rien a faire. Je bave comme un chien devant un steack.
Puis il ressort et me pénètre de nouveau.
Il démarre de lent vas-et-vient. Il m'empêche de le toucher. Il veux juste me baiser la bouche. Ce mec est une vraie brute, un sale gosse qui m'excite royalement.
Petit à petit, il accélère dans ma bouche. Il râle de plus en plus et proportionnellement, tire de plus en plus sur mes cheveux. Sa commence à faire mal. Mais je ne peux m'empêcher de prendre royalement mon pied. Je suis tout de même en train de me faire baiser par Brandon !
La partie dure 5 bonnes minutes. Pour finir, il s'est braqué net et a plaqué sa teub au fond de ma gorge. 3 saccades et 6 jets puissants ont achevés ma mâchoire inférieure et remplis ma gorge d'un liquide visqueux, chaux, amer et sucré à la fois.
Il attendu que j'ai tout avalé pour se retirer, la bite encore à demi gonflée.
Il m'a relevé par les cheveux, m'a jeté contre le mur et s'est rhabillé. Puis il m'a embrassé avant de me gifler violemment.
"Putain qu'est-ce que je viens de faire ?! Putain t'es vraiment qu'une pute toi. Tu me dégoûte."
"Pourquoi t'assume pas ?!"
Ces mots sont sortis de ma bouche sans aucun filtre. J'ai viré à l'écarlate en m'entendant les dire. Putain je faire démonter.
"Je ... dégage ... fous le camp de ma piaule !"
Son comportement est particulièrement étrange. J'ai quitté sa maison en demi-teinte. Je viens de faire baiser la bouche par le mec le plus sexy du quartier. Il me regard comme s'il allait me tuer. Mais je sais qu'il ne me déteste pas. Il se déteste et ne sais pas comment s'assumer. Je crois que je vais continuer à le regarder. Peut-être qu'il baisera autre chose la prochaine fois !
PtitGayCurieux
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